TP2 de SVT
Introduction
On peut observer qu’une surface est mieux éclairée si la source en est plus proche. Mais l’habitabilité d’une planète dépend-t-elle de sa température et de sa luminosité ? On peut penser que la température d’une planète varie en fonction de la distance du Soleil. Peut-être que si la planète est proche du Soleil alors sa température sera plus chaude, et inversement.

Partie I On met en œuvre une expérience pour voir si la luminosité varie en fonction de la distance. Pour cela on utilise un luxmètre que l’on place à une distance déterminée de la lampe.
Schéma
Partie II a. Protocole expérimental Suite à l’expérience voici un tableau et un graphique représentant les résultats :
Tableau
Graphique On peut donc déduire de ces résultats que plus la surface recevant la lumière se trouve loin de la source, plus l’énergie lumineuse reçue est faible. b. Comprendre les températures réelles à la surface des planètes Suite à l’étude du tableau comparant les distances et les températures de Mercure, Vénus, la Terre et Mars par rapport au Soleil, on remarque que plus la planète est loin du Soleil, plus la température réelle ou sans atmosphère de la planète est faible. Si l’on compare maintenant la température réelle des planètes et celle sans atmosphère on remarque que la température de surface réelle est plus chaude que quand elle est sans atmosphère. A part pour Mercure où la température reste inchangé puisque cette planète est sans atmosphère. Mercure est la plus proche du Soleil et donc reçoit plus d’énergie solaire que Mars, Vénus ou encore la Terre. Ce qui est une des explications de l’absence d’atmosphère à sa surface. Mais Mercure a aussi une masse trop faible pour retenir une enveloppe gazeuse. Désormais, on compare la composition des planètes telluriques. L’atmosphère des planètes telluriques est principalement composée de dioxyde de carbone (CO₂) et de di azote (NA₂). Pour Mars et Vénus, ils ont