Tpe autour de la rafle du vel d'hiv
Introduction :
Notre thème correspond à la conquête et à la défense des libertés publiques. En particulier aux privations de liberté. Nous allons aborder ce qui s’est déroulé autour de l’événement de la rafle du Vel d’Hiv. En se basant sur les écrits des personnes ayant vécu cela et par l’intermédiaire d’une fiction également. La rafle du Vel d’Hiv a eu lieu les 16 et 17 juillet 1942 à Paris dans le quinzième arrondissement, rue Nélaton où 13 152 juifs ont été arrêtés par la police française sous la direction allemande. Une rafle est une arrestation en masse que la police opère à l’improviste. Nous pouvons distinguer des différences entre les termes histoire, mémoire, fiction et témoignage. En effet l’histoire narre un évènement ou un fait passé, la mémoire est une représentation du passé sous une forme mentale et également un souvenir laissé par quelqu’un ou quelque chose, la fiction est une invention de choses imaginaires, irréelles et le témoignage est une relation faite par une personne de ce qu’elle a vu ou entendu, c’est le signe, la preuve de quelque chose. En mémoire de cet événement, Annette MULLER décrit cet épisode douloureux dans La petite fille du Vel d’Hiv écrit en 1991. Il y a également Eric CONAN qui n’a pas vécu cette rafle mais qui en a rassemblé les mémoires dans Sans oublier les enfants écrit en 1991. Quand à Tatiana de ROSNAY, s’inspirant de faits réels, elle a rédigé Elle s’appelait Sarah en 2006. Cela fait 70 ans cette année et trop peu de gens se souviennent de cet événement et beaucoup n’en ont jamais entendu parler. Il reste en tant que traces, des témoignages mais aussi des fictions.
Nous nous demanderons comment s’articulent mémoire et fiction à propos de la rafle du Vel d’Hiv autour des œuvres La petite fille du Vel d’hiv, Elle s’appelait Sarah et Sans oublier les enfants.
Dans un premier temps, nous focaliserons sur la rafle en 1942 puis nous nous intéresserons à la rafle,