Tpe don d'organes
- La loi Cavaillet du 22 décembre 1976 dit que si nous ne sommes pas inscrit sur une liste de refus de dons d’organes nous sommes tous donneur potentiel.
La loi de biohétique de 1994 a confirmé cette notion et a posé des principes généraux : - le consentement présumé - l’anonymat - la gratuité (tout est pris en charge) - le volontariat - ainsi que le respect du corps
- La partie du corps retiré du donneur est remplacé par une prothèse par respect pour la famille.
-Généralement les religions sont en faveur du don d’organes tels que : - le Judaïsme (il doit être encouragé et sera possible s’il respecte les interdits fondamentaux et les conditions dictées par les autorités religieuses), - le Christianisme, l’Islam (avec 3 aspects fondamentaux : la réalité de la mort, l’intégrité corporelle et le consentement du donneur) - le Bouddhisme (interdiction de toucher le corps du défunt si la séparation de l’âme et du corps n’est pas assurée). Cependant, le don d’organes chez les croyants toutes religions confondues est pour certains un refus car cela reste un don d’ « une chose offerte par DIEU » et donc qui ne peut être donner à n’importe qui, selon eux.
- Rare sont les exportations d’organes d’un pays à un autre sauf en cas d’extrême urgences et dans une région où il n’y a pas d’équipe de greffes.
- Seules les personnes en état de mort encéphalique peuvent donner leur organe.
On peut parler de mort encéphalique lorsque les organes fonctionnent encore mais qu’il y a un arrêt de toutes activités cérébrales.
La mort encéphalique est déterminée par 2 électroencéphalogrammes espacés de 4h ou un angioscanner.
La mort encéphalique qui est un AVC ou un traumatisme crânien est différent du coma qui lui correspond à l'arrêt du cœur et de la respiration. Dans le coma en revanche, les fonctions cérébrales peuvent être maintenues.
- Ce qu’on prélève : - des