Sommaire :

Introduction :
« J’ai aidé ma femme à mourir »

I- L’euthanasie est un crime. a- Pour les religions. b- Pour l’ordre des médecins. c- Pour la loi Française.

II- L’euthanasie : une prise en charge digne de la fin de vie. a- La pression de la société et des associations. b- La loi dans différents pays du monde.

Conclusion.

Sources.

Synthèses personnelles.

Introduction :

« J’ai aidé ma femme à mourir »

« Quand, de sa main tremblante de vieil homme, il lui a tendu le verre pour qu’elle le porte à ses lèvres, il pleurait comme un enfant. En la regardant se redresser péniblement, il a murmuré : ‘’Tu te rends compte ce que tu me fais faire, mon amour ?’’ Ce furent ses derniers mots à Blanche, dans la chambre aux rideaux tirés. ‘’Mon amour.’’ Il s’est servi du produit qu’on utilise, en France, pour piquer les chiens dans les cliniques vétérinaires en Suisse et en Belgique, pour aider les gens à mourir dans le cadre du suicide assisté. »
En effet le suicide assisté qualifié au sens large d’euthanasie était autrefois synonyme de mort calme et sans souffrances, ce terme est aujourd'hui réservé à la pratique qui consiste à hâter la mort d'un patient atteint d’une maladie incurable, dans le but d'abréger ses souffrances. Il existe cinq sortes d’euthanasie possible : * L’euthanasie active (l’administration volontaire de substances dans le but d’entrainer la mort, soit à la demande du patient ou d’un proche soit sans l’accord du malade avec l’initiative d’un médecin). * L’euthanasie passive (interruption des traitements en cours qui permettaient au patient de survivre). * L’euthanasie volontaire (à la demande du patient). * L’euthanasie involontaire (à le demande d’un propre ou d’un membre de l’équipe médicale lorsque le patient n’a plus toute sa capacité physique et mentale). * L’aide au suicide (le patient accompli lui-même l’acte avec l’aide d’une autre personne).
Ce sujet qui est d’actualité nous pousse à