Tpe les habitudes alimentaires
Alimentation 1950
Les repas traditionnels d’autrefois en baisse. Comme le rappellent les experts ayant collaboré à la rédaction de ce document, les habitudes alimentaires des Français ont, en effet, beaucoup changé depuis les années 1950 et si certaines de ces modifications comportent des aspects positifs (par exemple, les repas sont aujourd'hui plus diversifiés et la consommation de légumes et de fruits est plus importante qu'il y a un demi-siècle), d'autres sont moins bénéfiques.
Ainsi, nos apports alimentaires ont globalement diminué, ce qui est plutôt une bonne chose car parallèlement nos dépenses énergétiques ont également diminué, mais nos repas sont trop riches en graisses animales et trop sucrés.
Alimentation 2013
Trop de viandes et de graisses animales, pas assez de céréales et de légumes secs. Des repas dans l’ensemble trop salés. Le grignotage devant la télévision en hausse. En revanche, les Français continuent de peu goûter aux aliments riches en glucides complexes, lentement assimilables, dont la consommation est pourtant recommandée par tous les nutritionnistes, qu'il s'agisse de céréales, de légumes secs, de féculents...
A ces déséquilibres alimentaires s'ajoute une mauvaise hygiène de vie. Car, nous sommes nombreux à ne pas faire assez d'exercice au cours de notre vie quotidienne.
Avec l'urbanisation, les modes de vie de plus en plus sédentaires réduisent les besoins en produits traditionnels à forte valeur nutritive », comme les pommes de terre, les légumes secs, les oeufs, le riz ou le pain, dont les ventes chutent de 1,4 % par an depuis 1960, note l'Insee. Le portefeuille s'en ressent aussi, la part de l'alimentation dans le budget de la ménagère est passée de 20 à 14 % en quarante ans. Si nos besoins alimentaires sont différents nous essayons aussi de manger de manière équilibrée. Place aux plats cuisinés allégés, aux poissons sans graisses, aux poêlées de légumes surgelés, des produits souvent bien équilibrés sur un plan