Tpe sur les risques
La prévention contre le risque volcanique se structure autour de deux axes: la prévision à travers l’étude du volcan et la préparation des populations et des services de secours.
3.1) La prévision
Il est préférable de connaître les zones exposées à des risques car les habitants s’installent aux pieds du Volcan, malgré les défenses de construction. Toutefois, l’Homme s’engage enfin à cesser de bâtir auprès des volcans, mais il existe toujours des énergumènes qui s’installent sans autorisation. C’est le cas au pied du Vésuve. Les peuples habitant sur les flancs du volcan n'ont aucune envie de le quitter. On ne peut faire évacuer les habitants que lorsque les scientifiques sont sûrs qu’une éruption se prépare parce qu’il y a trop de population à déplacer. En effet, l’évacuation coûte cher et l’économie du pays serait en chute pour rien! L’argent détermine alors le sort de millier de vies humaines. De plus, la surveillance du volcan n’est pas gratuite.
Les moyens investis dans la prévention dépendent de l’économie du pays. De fait, les pays en voie de développement (PED) ne peuvent éviter les cataclysmes. La prévention sert donc à minimiser les pertes humaines puisqu'il est impossible de déplacer ces populations. 3.1) La prévision
Les autorités locales et les vulcanologues doivent traiter l’indétermination à propos du temps, du type et de l’ampleur de l’activité future du Vésuve. Sa période actuelle de repos est un facteur important pour l’ampleur de la prochaine éruption.
Le plan national d’urgence, élaboré sur la base du scénario le plus probable, (éruption comparable à celle de 1631) prévoit l'évacuation d'urgence de la population installée dans la « zone rouge » entre quatorze et vingt jours de préavis de l’éruption. L'évacuation par trains, ferries, cars et autobus est conçue pour durer environ sept jours. Or, l’actuel plan conçoit de réduire ce délai à seulement 3 jours. Les habitants qui subissent