Traitements de la schizophrénie
Fraichement, des scientifiques américains ont réussi à reproduire le gène DISC1 dans un animal. Un déséquilibre dans ce gène peut, entre autres, causer la schizophrénie. Ce gène sert à coder une protéine favorable au développement cérébral. Cette découverte sera sans doutes bénéfique à la formation de nouveaux traitements.
La schizophrénie se traite généralement à l’aide de médicaments, couramment appelés antipsychotiques, qui est en fait un nom dérivant d’un concept commercial. On devrait en fait les appeler neuroleptiques. Cette méthode ne guérit pas la maladie, elle diminue les symptômes significatifs.
Malencontreusement, il y a des effets secondaires neurologiques importants reliés à l’utilisation de ces médicaments. Ces accrocs peuvent aller jusqu’à produire un «SMN», c’est-à-dire, le syndrome malin des neuroleptiques. Ce syndrome peut-être la cause d’insuffisance respiratoire, rénale et cardiaque, il peu aussi engendrer la rhabdomyolyse, soit la destruction de cellules musculaires. Toutefois, seulement 1% des utilisateurs d’antipsychotiques développent ces symptômes. L’akathisie est un autre des effets secondaires causés par les neuroleptiques, cette indication est en fait une agitation nerveuse et motrice et/ou des mouvements incessants et répétitifs. Le syndrome psudoparkinsonien, les dystonies, le syndrome du lapin et la dyskinésie tardive sont aussi reliés aux neuroleptiques, ce sont des effets reliés aux muscles, et sont donc causé par la rhabdomyolyse.
Ces effets secondaires peuvent être corrigés par d’autres médicaments tels les anxiolytiques, les hypnotiques et les antidépresseurs. L’utilisation de tels produits pour réduire la force de la schizophrénie est généralement essentielle sans toutefois être suffisante, les soins complexes requièrent souvent plus de temps et sont particulièrement délicats.
Les antagonistes à la dopamine et à la sérotonine sont une deuxième