Travail autonome :
Fait social : L’avortement chez les adolescentes en Belgique.
Problématiques : - Le viol ;
-Accident de contraception, c'est-à-dire le fait d’oublier de prendre la pillule ou port systématique du préservatif.Le manque de connaissances sur les différents façons de pouvoir eviter de tomber enceinte ( préservatifs masculins, féminins, pillule..ect ) ;
- Adolescentes venant d’un milieu socio-economique faible.

Description détaillée et chiffrée du phénomène etudié :
• L’avortement, Point de vue psychologique :
L’avortement est tout d’abord une pratique très douloureuse pour la femme qui y a recours, que ce soit pour une femme mineure que pour une femme majeure.Il est important que la personne concernée soit accompagnée soit physiquement soit moralement…Au moins. Bien sûr que l’IVG(intervention volontaire de grossesse) laisse des traces dans la mémoire, mais si on a un jour recours à cette pratique, c’est qu’il y a de bonnes raisons ( études, pas d’argent, pas de boulot…).
• Définition du dictionnaire (Le robert, Plus) :
1) Interruption d’une grossesse, naturelle ou provoquée.
2) Interruption volontaire de grossesse.
• L’avortement, différentes pratiques :
1) La technique médicamenteuse : cette méthode consiste à prendre des médicaments.Elle ne nécessite donc ni anesthésie, ni intervention instrumentale.
2) La technique instrumentale : cette pratique consiste en inspiration, précédée d’une dilatation du col. Cette technique nécessite soit une anesthésie générale, soit locale.

• L’avortement, les délais à ne pas dépasser :
 Entre une et sept semaines d’aménorrhée : IVG médicamenteuse.
 Entre 8 et 14 semaines d’aménorrhée : IVG par technique instrumentale.
 Au-delà de ce délais qui est de 14 semaines, il n’est pas légal et encore moins morale de laisser une femme recourir à une IVG.

• Actuellement, en Belgique, un millier d’adolescentes tombent enceintes par an. Deux tiers d’entre elles ont recours à un avortement et un tiers