Travail de lecture
La volonté de puissance permet d’exercer la puissance de sa volonté, d’être plus fort, autrement dit de vouloir avec force sa propre progression. C’est une possession de soi et le surpassement de soi. Cela permet à l’individu de découvrir son être propre. Concrètement, la volonté de puissance implique deux stades : le rejet des « tu dois » et la création de valeurs nouvelle. Le rejet des « tu dois », selon Nietzche, est de rejeter toutes les lois morales, toutes les règles et prescriptions morales. La création de valeurs nouvelle est la puissance d’un vouloir qui est créé par ses propres valeurs sans chercher l’approbation des autres. 2. En quoi le surhomme est-il libre et créateur dans la pensée nietzschéenne? (4-5 lignes)
D’abord, le surhumain est libre en tant qu’être affranchi, car il a besoin de croire. Ensuite, il est libre en tant qu’être indépendant, car il se tiendra loin des contraintes comme le mariage et la vie familiale, de plus cela poussera à ne pas vouloir de disciples ou d’esclaves. Finalement, le surhumain est libre en tant qu’il est maître, à travers de lui il a une vie exubérante, joyeuse, combative, triomphante et féconde. Il est le maître de lui-même. Le créateur dans la pensée nietzschéenne est celui qui donne un but aux hommes et qui donne son sens et son avenir à la terre : lui seul peut créer le bien et le mal de toutes choses. Le surhumain est le créateur impétueux. 3. Comment Freud perçoit-il l’homme idéal ? (4-5 lignes)
L’homme idéal, pour Freud, sera celui qui aura réussi à maîtriser ses pulsions par la volonté et la raison (le moi). Cela ne veut pas dire de les supprimer, mais de le maîtriser.il ne faut cependant ne pas être dominé par les exigences morales du « surmoi », jugé trop dures et sévères. Par exemple, s’employer à sauver des vies dans des zones sinistrées constitue un exemple de sublimation des