Travail Session
L’impact de l’activité physique sur le stress lié aux études
Par
Gabriel Desgagné
Geneviève Gregoire-Harel
Amélie St-Aubin
Département de psychoéducation et de psychologie
Travail présenté à
Josée Caron
ARU-9003 Atelier de réussite universitaire
Avril 2014
Table des matières
Sommaire
1.
Introduction générale 3
2. Développement 4
2.1. Conséquences psychologiques 4
2.1.1. Effets sur l'anxiété 4
2.1.2. Effets sur la dépression 5
2.2. Conséquences biologiques 5
3. Conclusion Générale 7
4. Bibliographie 8
5. Annexes 10
Introduction générale
Développement
Conséquences biologiques Contrairement à ce que peuvent penser bien des gens, il n'est pas nécessaire de pratiquer un sport spécifique afin d'être considéré comme une personne active. L'activité physique est définit comme étant: « tout mouvement corporel produit par les muscles squelettiques et produisant une dépense énergétique plus élevée que le métabolisme de repos » (Kino-Québec, 1999). La nature de l'exercice n'a alors aucun impact, excepté que plusieurs recherches mentionnent que les activités d'endurance auront de plus grandes répercussions que des activités d'intensité élevée telles la marche et le cyclisme par exemple (Scully, 1998). Néanmoins, les preuves sur lesquelles elles s'appuient sont limitées pour des causes de méthodologies. Puisqu'il est bénéfique de conserver ses bonnes habitudes à long terme, l'impact est plus marqué chez les personnes qui adhèrent à des programmes d'activités physique durant plusieurs mois.
Conséquences psychologiques Outre les bienfaits de l'exercice physique sur le plan biologique, de nombreux autres avantages apparaissent chez les individus n'ayant pas un mode de vie sédentaire. « Il semble que lorsqu'on utilise l'activité physique dans le traitement de pathologies comme la dépression ou l'anxiété, il est important de considérer le plaisir associé à l'activité physique. En effet, il semble que plus le