François estime que le malheur des êtres humains arrive malgré eux. Premièrement, il soutient que peut importe l’ardeur de se qu’on désire, cela ne veut point dire qu’on l’aura, même si l’on y met toute l’énergie qu’on détient. Plusieurs personnes s’estiment malheureuses, car elles souffrent de chagrins causés par des évènements hors de notre portée et même si ces souffrants pleurent leur malheur, ils n’en seront pas du moins libérés. Deuxièmement, François soutient que les malheureux ne sont pas consentants. Nombre de gens sont malheureux sans pour autant le vouloir, le regrettent et désirent l’opposé. Donc, ces maux qui arrivent malgré nous, comme la pauvreté, les maladies et la mort, sont des souffrances non consentit, donc il est facile de connaître sa misère et de la déplorer, mais on ne peut point l’éviter car elle relève du hasard. Finalement, François supporte que même si on peut tomber dans le malheur par notre faute, beaucoup de personnes ne peuvent se relever, même si la volonté y est. Bien des fois, on veut sans pouvoir et peut importe la souffrance et les larmes qu’on y verse, on reste à terre.
Augustin, lui soutient que l’être humain est malheureux par sa faute. Premièrement, selon lui, celui qui est malheureux et désire ne plus l’être, peut y parvenir. Seulement, pour y parvenir, la méditation est la clé et pour celle-ci, il faut parvenir à oublier tout plaisirs terrestres, ce que les gens malheureux ne font pas. Deuxièmement, Augustin affirme qu’on trouve le malheur que par le vice. Il dit que personne ne peut devenir malheureux à cause des maux, comme la maladie et la pauvreté, mais bien par les vices dont nous sommes coupables. La vertu étant ce qui fait le bonheur de l’homme, les vices, qui s’oppose à la vertu, s’oppose aussi au bonheur de l’homme, donc le rend malheureux. Finalement, Augustin estime que le fait de devenir ou d’être malheureux dépend de notre volonté et si on pense le contraire, c’est qu’on se trompe soi-même. Puisque