Travail d’écriture commentaire littéraire

991 mots 4 pages
J.J. Rousseau a dit, conforme au sens, que chaque société a le gouvernement de son mérite.

L’interaction entre les sujets et les dirigeants à travers les époques est le fondement du développement dans le monde.

Comme déjà mentionné au dessus, Derville parle des trois hommes, du prêtre, du Médecin et de l’Homme de justice. Ces trois hommes représentent chacun une instance de l’humanité : le spirituel, la médecine et la justice (l’équité). C’est trois choses jouent un rôle très important dans les sociétés comme aussi dans la description du Paris de Balzac.
Pour beaucoup de personne le spirituel, la croyance en quelque chose au-delà, est la seule possibilité de trouver une paix intérieure, d’arriver à une conscience en relation avec leurs existences et d’avoir l’espoir de revivre après la mort.
La médecine s’est quasi développé avec l’histoire de l’humanité, les hommes cherchent sans arrêt de nouvelles techniques pour rallonger notre vie, qui nous est tellement chère.
Aussi une ‘justice naturelle’ à été crée, mais avec l’arrivée de l’humanité qui l’a pris en main et décidé, si quelque chose est juste et de la liberté de quelqu’un.

Donc Balzac ne présente pas ces trois principes dans son monde sans sarcasme: il prend le personnage de Derville, l’avoué, avec ses expériences professionnelles pour nous dire:
«Enfin, toutes les horreurs que les romanciers croient inventer sont toujours en-dessous de la vérité.»

Alors, c’est quoi, «la vérité» en générale et celle de Balzac en particulier à la première moitie de son siècle ?

Quand nous supposons que le besoin central de l’homme est sa ‘reproduction journalière’ dans tous les domaines de son existence et qu’il veut vivre sans pauvreté, avec le droit d’avoir un travail dans une ambiance sociale et sans la menace des guerres et catastrophes, c’est décourageant d’être confronté a cette scène de mœurs, qui «fait horreur», comme Derville a constaté pour Paris.

Certes, mais

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