travailphilo
2)On fait sortir du temple le roi des années, et il reçoit de petits présents de la multitude assemblée. (numéro 2)
3) Cependant, on boit quelquefois le sang chaud de l’ours , « pour que le courage et les autres qualités […]passent en quiconque le boit »[…]hommes se barbouillent le corps et les vêtements avec le sang […] ( numéro 3)
4) Il a des relations sexuelles avec une sœur et épouse[…] « il est assimilé dès lors à un sorcier redoutable[…]considéré comme à la fois une ordure et le représentant de Dieu sur la terre […] » (numéro 4)
5) Le sacristain fait le tour par la gauche , en commençant par les femmes, et coupe le fil noir avec ses deux mains , en prenant soin de recueillir tous les morceaux[…] le défunt emportera ainsi avec lui la douleur de ses proches. ( numéro 6)
6) Poussés par les Kingilli, les Uluuru attaquent furieusement le tas de sable et le frappent avec des sagaies […]Aussitôt après cette scène de violence, le calme se rétablit. (numéro 7)
7) Il pouvait vivre ainsi , pendant des mois ou des années, traité comme un roi, comblé de tous les mets les plus délicats du pays , et élevant une famille d’enfants qui, une fois grands, seraient peut-être mangés avec leur père. (numéro 8 )
1)Selon Girard, le rituel exige qu’un arbre soit abattu pour devenir ensuite, un pilier sacré. Ce pilier, le centre du monde, protège et fortifie la tribu contre ses ennemis.
2)Selon l’ancien sacrifice des rois, la victime a droit à un traitement royal étant considérée comme un être sacré. Ainsi, avant d’être sacrifiée, « le roi des années » reçoit les honneurs des troupes et des présents de la part de l’assemblée.
3)Le sang de la victime représente une source d’impureté. Qui ne devait pas toucher la terre. Cependant, le fait de le boire ou de s’asperger avec aurait un effet bienfaisant en assurant le succès et en conférant une multitude de qualités au bénéficiaire.
4)Comme à