Dans le cadre d’une entreprise du développement de logiciel de jeu vidéo on rencontre une situation qui bien souvent peu arriver sur les derniers mètres à la fin d’un projet comme c’est le cas « Trèves et procédures » ou un conflit entre les chefs de projet d’animation (Alexis), de game design (Steven) et informatique (Nicolas) s’installe. Steven croit bien que les autres deux départements informatique et animation font exprès pour miner son travail.
Ils ont tombé d’accord de créer des «réunions minutes» pour atténuer les conflits ou se réunissent un représentant du chaque équipe pour être au courant de l’avancement du projet des objectives fixées a jour et aussi de tout qui va se faire dans l’avenir proche de la journée ou a la semaine.
L’objectif du cet étude de cas c’est comment Nicolas doit-il intervenir lors de la réunion
L’utilisation de pouvoir représente un outil qui déclenche un dynamique particulier dans l’équipe, étant plus performante si le pouvoir il est bien partage. Si la situation arrive que un différent département et prédominant et plus prononcé comme ce le cas de game design représente par Steven, ceci nuit a la communication et a la collaboration, au bon partage de l’information dans temps, crée une atmosphères malsaine dans l’équipe ou crée de la résistance. (Pépin, R 2005-Gestion des équipes de travail p)
Une des problèmes à l’ordre du jour c’est de mettre en question le savoir de s’interroger a la place de faire de la polémique, d’apprendre et comprendre les situations a la place d’accuser. Chacun des membres de l’équipe il faut être très intéressé de maintenir un bon climat et en avoir un esprit critique constructif et toujours porter une attention particulière sur la collaboration et la communication et de faire aussi la rétroaction avec le but que l’objectif du projet soit atteint. La rétroaction permet aussi a la personne en cause de s’adapter, acceptant la situation et vouloir suivre la direction de l’équipe. « La