Rapport de trésorerie Le quitus financier a été voté par le congrès par 54 POUR et 3 ABSTENTIONS Je ne pourrais pas être au Congrès au-delà de la 1ère partie de la 1ère journée. C’est impératif, je n’ai pu modifier mes obligations ...obligées… Ceci dit. Petit texte avant le congrès… La situation financière du syndicat pose problème. Globalement parlant, nous sortons de l’exercice 2006 avec un solde positif mais on ne peut pas ne pas remarquer que nous avions initialement des réserves financières élevées, constituées pour partie grâce au non paiement des cotisations FEN/FSU lors de notre période « d’autonomie ». Ces comptes ont connu une brusque dégradation lors du lancement de la VRS 1ère formule (la formule Diani) qui a entraîné une vente importante de nos actions qui n’a pas été compensée par de la publicité au niveau initialement annoncé. Il n’est pas inutile de rappeler que deux numéros de VRS de plus de ce type auraient totalement asséché nos réserves. Il convient à ce niveau de dire que de telles réserves ne peuvent pas être à zéro : un syndicat ne peut se permettre de fonctionner avec un volant financier nul. D’une part, parce qu’il doit être à même d’assurer les voyages, réunions, etc., frais de manifs (banderoles, autocollants, hélium ballon !), frais de presse, etc.., toutes dépenses imprévues en cas de mobilisation. D’autre part parce que même en cas de période « calme », nos dépenses ne s’étalent pas dans le temps de façon homogène, à part les salaires –hors décembre- , et que si le PAC (Prélèvement automatique des cotisations), est régulier, il n’en est pas nécessairement de même des paiements par les sections qui « traînent » parfois, comme les paiements par chèques individuels. Il est donc parfois nécessaire pour passer une échéance avant le PAC de vendre des actions. Jusqu’en 2002/2003, nous reconstituions immédiatement, le PAC arrivé, notre matelas d’actions. On constatera qu’il n’en est rien depuis (avec un pic de crise en 2002/2003). De ce point