De la révolution au mépris. un sentiment de dédain a fait son apparition le 17 janvier, les tunisiens se sont insurgés non pas contre la dictature mais contre la classe dirigeante.
Ce sentiment qui n’a été que refouler pendant des années par la plèbe et aussi par une partie de la classe moyenne, prend une forme de dissonance collective et une forme de pragmatisme tumultueux Ces révoltes qui engendrent un chamboulement altéré risque de nuire gravement au fonctionnement économique du pays tunisien ces rébellion ne sont guère démocratique mais elles sont dictatoriales.
Ces révoltes sont exerces par un mouvement dictatorial collectif qui créera une anarchie dans l’économie tunisienne sur le court terme.

Les receveurs d’ordres jouissent d’un gain de confiance avec l’obtention de la démocratie, cela ne durera que quelques mois car la démocratie est entrain d’être occulter et d’être déformer, il y a une disparité flagrante dans notre pays entre le nord et le sud entre la population active et la population inactive (pas d’allocation chômage) ; il ne faudrait pas améliorer les condition de travail de la population active existante mais trouver de l’emploi pour la population inactive de longue durée dans un premier temps… les adultes qui commencent a fléchir, mettent les jeunes diplômés ou non-diplômés, dans une altération précoce avant même de trouver un emploi puisqu’ils demandent des augmentation de salaires soit directs ou indirects.
La révolution démocratique harmonieuse du peuple A permis un assemblage hétérogène des entités physiques et démographiques ; mais le mouvement n’a guère durée puisque maintenant tout les tunisiens pensent misérablement a leur personne.
A permis un assemblage hétérogène des entités physiques et démographiques
Nous avons vu une societe solidaire contre les Melices puis une communaute societale solidaire contre la classe dirigeante
Dans la preiere la solidarite était national
Pas de meilleures conditions