Dans « Le Père Goriot » l’auteur (Honoré de Balzac) a mis en place un point de vue interne. Il décrit très précisément le corps de Vautrin. On part de haut en bas on parle de « ses épaules larges », « son buste bien développé », « ses phalanges », « poils touffus et roux ardent ». Pour parler après de quelques détails de sa figure « rides prématurées », « signe de dureté ». L’auteur est vraiment très précis il en vient même à parler de sa voix « sa voix de basse taille ». Tous ces éléments donnent un effet réaliste car une personne de la vie réelle pourrait être très bien ressemblé à ce personnage que décrit si bien l’auteur. Il donne des endroits précis comme « la mer », « la France », « l’étranger ». Ces endroits nous indiquent que déjà l’intrigue se passe sur la planète et on peut supposer plus précisément en France. L’auteur parle aussi de métiers bien réels comme être « juge » par exemple. Après il parle de « francs » la monnaie de l’époque. Un élément de plus qui donne un effet réaliste au texte. Dans « Germinal » écrit par Emile Zola l’histoire est réaliste mais développée de façon suggestive pour que le lecteur sente ce qui se passe comme s’il le vivait lui-même. L’auteur utilise un vocabulaire courant des fois même un peu familier qui donne un effet réaliste le lecteur à l’impression de vivre l’histoire. Comme par exemple « gosier », « baraque » pour les mots familiers ; maintenant pour les mots courants il y a par exemple « pieds nus », « cage de fer ». Pour ce texte l’auteur a décidé d’utiliser des métaphores animales « (…) jaillissement doux de bête nocturne (…) », « sonnant à la viande », « chair humaine ». Tout cela permet de comprendre que le texte est réaliste. Il y a un dernier élément qui rend réaliste aussi c’est que on nous donne un temps précis « une demi-heure ». Dans « Madame Bovary » de Gustave Flaubert plusieurs petits éléments mais précis nous permettent de comprendre que le texte est réaliste. En commençant par des petites habitudes qui