Un coeur simple et moderato cantabile
Après le romantisme est venue une réaction qui a essayé d'examiner la réalité du monde. Ce nouveau mouvement a souligné l'importance des personnages du matérialisme pour mieux comprendre les classes sociales. La révolution industrielle était un moment de grande transformation de la société et elle a créé un système de classes sociales partout: à la ville et même à la campagne. Pendant que la richesse est devenue un sujet de grande importance, Gustave Flaubert et Marguerite Duras essaie de montrer dans Un Cœur Simple et Moderato Cantabile respectivement que la richesse ne signifie pas nécessairement le bonheur et une vie épanouissante. La différence entre les classes sociales est essentielle aux deux intrigues car les auteurs utilisent cette grande distinction pour montrer les valeurs différentes parmi les classes. Dès les premières pages des deux romans, on voit l’importance des classes sociales. Avant avoir décrit des autres choses dans Un Cœur Simple, Flaubert souligne les différences économiques entre Félicité et sa maitresse, Mme Aubain. Le lecteur ne sait pas beaucoup à propos de Félicité et Mme Aubain sauf leurs situations financières. Félicité gagne cent francs par an pendant que Mme Aubain, après avoir « épousé un beau garçon sans fortune, » (Flaubert 49) gagne 5000 francs en vendant ses immeubles. Cette différence monétaire établie à la première page, reste essentielle tout au long du conte car tous les rapports sont basés sur cette différence fondamentale. De la même façon, Moderato Cantabile montre la richesse des personnages dès les premières pages même si dans une manière plus subtile. Le roman commence chez le professeur de piano de l’enfant. On voit toute de suite que l’enfant reçoit régulièrement les leçons de pianos et que sa mère l’emène chaque semaine à ses leçons. Même si ce n’est pas explicite, il est clair que Anne Desbaresdes est riche car elle a des