Un monde presque parfait
Exposition de Martine Feipel et Jean Bechameil.
Martine Feipel est né en 1975. Elle accompli des études portant essentiellement sur l’art jusqu’à être diplômé d’un master en art plastique.
Jean Bechameil est né en 1964. Il a fait une formation d’artiste sculpteur. Leur point commun étant donc l’art. C’est en 2008 que Martine Feipel et Jean Bechameil commencent à collaborer, ils s’installerons au Luxembourg mais travaillerons sur bien d’autres lieux. En 2011 ils se présentent ensemble a la Biennale de Venise et présenterons un projet nommé : « un cercle fermé » qui consiste à la réflexion de la notion : « espace ».
Pour leur exposition : « un monde parfait » ils se sont particulièrement intéresser aux logements sociaux qui seront pour la plupart moderniste et utopiste. Ces bâtiments seront spécialement issu des années 50-70, années ou la crise du logement fait rage et ou le besoin d’une collectivité se ressent. Ses immeubles seront donc caractéristiques de leur temps, et pour la majorité d’entre eux, ils sont dégradés, mals entretenus. Mais à cette époque les architectes et urbanistes pensaient ou plutôt permettaient un monde moderne, fonctionnel et beau ce qui serait synonyme d’un monde parfait. Malheureusement la réalité de nos jours n’est pas les promesses d’autrefois.
Les vieux immeubles remplis de locataires ou de propriétaires n’ont plus qu’une « vieille architecture » et la population caractérise de plus en plus ces endroits comme étant des « ghettos ». Ces logements collectifs dont les architectes des annés 50-70 placaient tant d’espoirs c’est rapidement dégradé, et maintenant à la place d’avoir un rêve dégradé nous avons un cauchemar qui surgit. Sur ce Martine Feipel et Jean Bechameil disent : « Ce vieillissement rapide se fait en parallèle d’une certaine vision de la fin des utopies du social et du collectif et vient souvent servir de preuve aux contestataires de cette forme architecturale et à ceux qui réclament leur