Un Parc Fran Ais
Cela aurait pu être un grand terrain sans vie mais c’était devenu un grand parc avec des fleurs que seul le jardinier sait cultiver. Elles embaument les chemins, les personnes d’un certain âge aiment cette endroit silencieux avec des arbres immenses qui leur font penser à un monde plus grand, plus beau, plus silencieux avec un rythme régulier, sans avoir peur d’être bousculer, sans avoir peur d’être trop lent.
Dans une autre partie du parc les enfants sont les rois, ils ont fini leurs leçons, les parents sont installés sur les bancs et parlent discutent sans trop s’occuper d’eux, et certains les oublient en étant capter par leurs discussions. Eux aussi sont tranquilles, oublié les soucis, le quotidien, ils refont le monde ou le critique, parle fort.
Les enfants jouent à la balançoire, dont les bruits grinçants, à chaque balancement, rappellent les portes des cimetières vus dans les films et un toboggan où les enfants se disputent pour avoir la place qui ouvre des portes vers des lieux incroyables dans leur imaginations infinies.
Les papillons, volent sans peur d’être attrapés, participent à la vie du parc et rend cette endroit encore plus magique.
J’aimerais vous en raconter plus mais voilà le gardien arrive, il aimerait bien rentrés chez lui.il reste encore cinq minutes. Les visiteurs du parc sont pas pressés de rentrer eux parce qu’ils savent que c’est fini la pause. La course vers on ne sait quoi va recommencer et voilà la dernière personne, le gardien est prêt à dégainer ses clefs sur la porte rouillé. FIN