UN SAC DE BILLES
Bernard Clavel, un écrivain français, a dit que Un sac de billes « pu être aussi le livre de la haine, mais il est en fin de compte, un cri d’espoir et d’amour. » Ce livre est plein de peur, de l’angoisse et de la souffrance mais il est clair, dans l’épilogue du roman, que Joseph Joffo ne voulait pas écrire un livre de la haine, il avait des autres objectifs que je vais discuter dans ce rédaction.
Premièrement, Joseph a tenté d’expliquer aux jeunes générations ce qu’à été la guerre et l’occupation pour les juifs. Il veut à mieux faire comprendre dans les écoles qu’a été la guerre pour les juifs. Dans une interview, Joseph Joffo a dit « Et si parmi la jeunesse, un seul comprend mon message et qu’il le transmet à d’autres, j’aurais gagné mon pari de faire œuvre utile. » Joseph a été un enfant pendant la guerre, alors avec cette raconte de ses aventures, il espère appelé au plus jeunes et les expliquer la réalité et la cruauté de la guerre. Pour moi, le facteur de la jeunesse de Joseph a eu un rôle tellement important parce qu’elle permet au lecteur jeune de se mettre dans la position de Joseph. Le lecteur peut se rappeler leur enfance et de penser s’il était autant responsable et mature pour vivre les mêmes aventures que Joseph a survécu.
En suite, Joseph veut faire hommage à tous ces Français anonymes, ces « justes parmi les nations » qui au plus noir du tourment aidèrent à sauver les trois quarts de la communauté juive française. Dans cet autobiographie, on a l’Archevêque de Toulouse et tous ces passeurs qui risquaient leur vie pour aider les fugitifs à gagner la zone libre, le curé dans le début du roman, croisé dans un train, et qui a affirmé aux allemands qui étaient à recherche des juifs, que Maurice et Joseph voyageaient avec lui, l’Archevêque de Nice qui les a sortis des griffes de la Gestapo, avec 127 autres enfants juifs. Je suis sûr que la liste est tellement plus longue. Joffo veut faire hommage à ces gens, ils nous donnent de