Un soir du mois d’octobre eu lieu un bal de charité dans le seizième arrondissement. Un des quartiers les plus peuplés de Paris.
Camille était présente à cette soirée, proche du buffet, quand soudain elle croisa le regard de Théo, un jeune homme qui entrait. Ce regard lui fit un petit pincement au cœur. Elle fut charmée de l’élégance de sa silhouette. Elle sentit ses jambes flageolantes, il s’approcha aussi du buffet et elle rougit avec toute cette chaleur car la salle était bondée de monde. Cet homme fut comme l’apparition d’un ange en enfer. Son teint hâlé qui faisait tout juste sortit l’éclat de ses yeux ainsi que de son sourire. Il avait un visage régulier et des cheveux soyeux et clairsemés. Camille comprit l’impacte de la beauté qu’il avait sur les femmes. Elle décida de danser, mais avant cela elle se rendit aux sanitaires, afin d’y retouché son maquillage. Ensuite, elle se trouva sur la piste à danser avec son cavalier. Même si elle ne dansait pas avec Théo elle en avait que pour lui. Elle sortit chercher son chéquier qu’elle avait oublié dans sa voiture, et en sortant de la salle, le fermoir de son fabuleux bracelet se détacha malencontreusement. Quand tout à coup les yeux de Théo se tournèrent en direction du bracelet au sol, il le ramassa. Elle eut chaud au cœur, mais elle vit dans les yeux de Théo que ce n’était pas un simple bracelet qui provenait d’une inconnue mais bien plus que sa, comme si c’était un bijou qu’il avait connu. Camille perdit tous ses moyens et le remercia. Théo lui proposa de boire un verre ensemble. Mais la demoiselle hésita quelle que temps est fini par accepter cette proposition. Au bout de quelle que verres les deux inconnus s’embrassèrent pas ivresse. Le lendemain matin Camille dit à Théo qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Se fut le moment merveilleux car les deux tourtereaux s’embrassèrent et ne se quitta plus. Quelle que année plus tard la famille savaient agrandit avec deux enfants qui se nommèrent Mélanie et Quentin et