Patrick Steeves
Lecture d'Une Année Étrangère Le thème principal dans la cinquième section partie est l'envie. Elle envie l'état amoureux dans lequel se trouve Simon. Elle veut une Édith à elle, quelqu'un qui aimer. Elle veut également devenir quelqu'un de nouveau, se débarasser de son passé: «J'ai parcouru tous ces kilomètres pour me perdre, sans doute, mais peut-être aussi pour me trouver, pour me débarasser de la fille que je suis devenue, sauvage et transparente, vulnérable et imprévisible, une fille tout en contradiction, quelqu'un qui s'effiloche, incapable de désirer et de choisis.» (page 114). Les mots les plus fréquemment utilisés dans le passage sont «Je voudrais». Ce que Laura voudrait le plus au monde c'est être une «grande soeur qui oserait enfin pleurer» (page 115) La sixième section encore des désirs de Laura. Cette fois, elle parle plus spécifiquement de rencontrer des jeunes de son âge. Elle se sent dans un monde à part, exclue de la jeunesse et ça la rend malheureuse. Elle veut appartenir à la norme, participer à la vie sociale de l'Allemagne. Dans la septième section, Laura se pose des questions à propos de potentiels amis et au sujet de Mein Kampf. Elle se demande si le livre pourrait être un sujet de conversation ou si en leur parlant de l'oeuvre de Hitler, elle leur reprocherait quelque chose dont ils ne sont pas responsables. «J'apprends, en me renseignant à la bibliothèque, que le livre s'est vendu en Allemagne à plus de dix millions d'exemplaires entre 1925 et 1945.» C'est quand même étonnant qu'un livre qui était si populaire que l'État l'offrait aux couples mariés soit maintenant ignoré et