une rusehéroique
En utilisant des phrases courtes, le narrateur rend l’action plus dynamique, comme : « Saisiscette occasion de t’échapper… Je me levai. » Pour le rendre encore plus dynamique, l’auteur utilise le passé simple de l’indicatif : « Je me levai… je pris mon épée et mes pistolets… Jem’arrêtai » Ce temps lui permet de nous mettre vite dans l’action, en décrivant les événements ‘’brièvement’’.
Question n°2 :
Le premier paragraphe repose sur le comique de situation. Le héros, GilBlas, fait semblant d’être malade en pensant que les bandits ne l’aideraient pas. Or, ‘’ses nouveaux copains’’ lui donnent beaucoup de remèdes qui évidemment le fatiguent beaucoup. Il setrouve donc dans une drôle de situation et regrette d’avoir fait le malade.
Question n°3 :
Tout d’abord, l’auteur présente le personnage héros comme un menteur ou bien un acteur. Gil Blas,pour réussir à s’échapper avec la nouvelle prisonnière, va faire semblant d’être malade. « Je me mis à grincer les dents… m’agiter d’une étrange façon… je me remis à faire des bonds sur mongrabat » Il réussit très bien. Ensuite, le héros est présenté comme quelqu’un de très courageux et déterminé : « Arme-toi… Je pris mon épée et mes pistolets… lui mettant un pistolet sur lagorge… Madame, lui dis-je, le Ciel vous a envoyé un libérateur »
Question n°4 :
Pour rendre cette scène plus intéressante, l’auteur emploie la première personne. Cela va lui permettre de nousmettre dans les pensées du héros. On se sentira ensuite, en lisant ce qu’il pense et ce qu’il sait, comme si on l’était.
Question n°5 :
A la fin, Gil Blas ose s’opposer ouvertement àLéonarde, la cuisinière des brigands, « en lui mettant un pistolet sur la gorge ». Il lui fait de la pression donc, pour qu’elle lui donne la clef, pour qu’il puisse ensuite libérer la