Le mode de vie dans les années 1900 n’a pas été le même pour tout le monde. Plusieurs étaient désespérément en quête du bonheur tandis que d’autres ne devaient pas faire autant de sacrifices afin d’être heureux. Dans les œuvres : Maria Chapdelaine de Louis Hémon ainsi que dans Une saison dans la vie Emmanuel de Marie-Claire Blais, on démontre la pauvreté en étant un des plus grands problèmes sociaux à cette époque. Les canadiens français cherchent à s’évader de la misère. Comment vous sentiriez-vous avoir quinze frères et sœurs; que l’on vous oblige de continuer les traditions et de cultiver les terres; que votre prénom est le Septième; que tu es si misérable que le seul temps que tu es heureux c’est lorsque ton frère a ses mains dans tes culottes? Les auteurs présentent ce problème en élaborant sur les valeurs inculquées : les grandes familles, la vie sur une terre et la quête du bonheur.

Au début du XXe siècle, plusieurs familles étaient touchées par la pauvreté. Il était très fréquent de voir les grosses familles passer à travers de moments difficiles. La religion avait un grand impact sur les familles d’autrefois. C’était un devoir en temps que catholique de fonder de grandes familles. Dans le roman de Marie-Claire Blais, Emmanuel est le dernier-né de seize enfants d’une famille de paysans. La grand-mère maternelle, Antoinette s’occupe des enfants dû au manque de présence de sa fille et son gendre. Emmanuel devra éventuellement s’habituer a ce mode de vie pénible : souffrir dû au manque d’amour, au manque d’attention, au peu de nourriture, aux punitions ainsi de suite.

“Ne crie pas, de quoi te plains-tu donc? Ta mère est retournée à la ferme.
Tais-toi jusqu’à ce qu’elle revienne. Ah! déjà tu es égoïste et méchant, déjà tu me mets en colère!” Il appela sa mère. “C’est un bien mauvais temps pour naître, nous n’avons jamais été aussi pauvres, une saison dure pour tout le monde, la guerre, la faim et puis tu es le seizième…”
Moi aussi j’ai mes