Une vie - maupassant
Axes :
I – Le père et sa fille a) Un père pygmalion b) Confiance dans la nature c) Tendresse et complicité
II – Le portrait de Jeanne a) Le regard du narrateur b) Une beauté fade c) Vitalité et spontanéité
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I – Le père et sa fille a) Un père pygmalion
Le baron souhaite modelé sa fille exemple ligne 2 → pronoms personnels qui montrent l'action dominante du père. Le père est le sujet de tous les verbes. De plus, le narrateur fait une allusion à l'alchimie. Il utilise la métaphore et l'alchimie avec « tremper » et « bain » à la ligne 2.
b) Confiance dans la nature
Le baron écarte sa fille de la société. On a par exemple, la redondance avec les adjectifs de la ligne 1, du partage passé. Le baron souhaite que sa fille soit ignorante de sexualité. On a une allusion à Emile de Rousseau. Il y a par exemple le champ lexical de la naïveté « naïf », « simple » à la ligne 4.
La suite du roman montrera les limites d'une telle pédagogie. Par exemple, à la ligne 3, le narrateur montre ses limites « poésie raisonnable ». Le narrateur omniscient s'engage objectivement avec la modélisation « une sorte », « semblait ».
c) Tendresse et complicité
Le narrateur fait allusion à la société aristocratique en déclin avec ses valeurs. Cependant, on est loin de l'image aristocratique traditionnelle. Le baron se distingue par la spontanéité des rapports avec sa fille. A la dernière ligne « Et bien, partons nous ».