1) D'après Vadius et Trissotin, pour pouvoir rentrer dans un salon, il faut être cultivé et savoir le montrer. En effet, à cette époque on devait employer un langague soutenue, faire de jolies vers et s'exprimer convenablement. Les poesies devaient avoir " un air nobles, galantes et doux"
2)Dans les vers 969 a 986, nous pouvons voir que les deux pédants savent manier le goût de la flatterie et s'amadouent en employant des expressions élogieuses pour se décrire entre eux. C'est ainsi que Trissotin dit à Vadius "Vous avez le tour libre et le beau choix des mots". Dans les vers 1013 à 1024, le registre de langue change, en effet, les deux pédants deviennent plus agressifs entre eux. Ils passent du vouvoiement au tutoiment et semble oublier la politesse. C'est ainsi que Trissotin dit à Vadius " Allez, petit grimaud, barbouilleur de papier".
3) Dans ces deux passages, nous pouvons dire que Vadius apparait comme un personnage qui aime critiquer en effet, sa querelle avec Trissotin portant sur leurs poeme respectifs met en relief la petitesse d'esprit de ce dernier. Quant à Trissotin, il se vante d'etre un grand connaisseur en lettres et en sciences, il est comme son nom l'indique, triple sot rempli de son savoir et tout gonflé de la gloire qu'il croit avoir meritée mais il n'est qu'un pédant juste bon a faire des vers ridicules. Nous pouvons en conclure que se sont des personnes hypocrites et imbus d'eux meme.
4) Dans ces deux passages, nous pouvons voir que les deux pédants passe de "camarade" à "rivale" en effet, au début ils se congratulent en se complimentant l'un à l'autre. C'est ainsi que Vadius dit " je vous trouve adorable" ou que Trissotin dit " si la France pouvait connaitre votre prix" jusuqu'à ce que Vadius commence a parlé du sonnet qu'il a entendu la veille nous assistons alors à une dispute entre les deux pédants puisque Trissotin est