TEST DE NIVEAU FRANCAIS

I-Compréhension Écrite
Lisez attentivement le texte et répondez aux questions
UN MOTEUR DANS LES PÉDALES
Le vélo électrique s’affiche peu à peu sur nos routes. Pleins phares sur ce nouvel engin.
Entre vélo et cyclomoteur, le vélo à assistance électrique ou VEA débarque sur les routes. De quoi s’agit-il ? D’un vélo équipés d’un petit moteur électrique. Mais à la différence du vélomoteur, il ne se déclenche que lorsque l’on pédale. L’intérêt ? Soulager les muscles, bien sûr! Au démarrage, dans les côtes, ou encore face au vent, bref, dès que l’on peine à pédaler, le moteur se met en route. Il réduit ainsi l’effort, permettant de rouler plus vite et plus longtemps.
L’assistance se coupe automatiquement dès que la vitesse de 25 km/h est atteinte ou dès que l’on cesse de pédaler, un système indispensable pour maintenir les vélos électriques dans la catégorie légale des ‘cyclos’. Cela dispense du permis ainsi que du port du casque ou d’une assurance spéciale. Silencieux et moins polluant qu’un vélomoteur, le vélo électrique fonctionne grâce à une batterie qui se recharge sur une simple prise électrique. Seul ennui: son poids. Il pèse une quinzaine de kilos de plus qu’un vélo classique, ce qui rend son maniement difficile au démarrage, à l’arrêt ou lorsque la batterie est vide et qu’il faut pédaler sans assistance. L’autonomie des batteries permet en effet des trajets de 25 à 40 km selon les modèles. Sachez cependant que la durée de la battérie est souvent de 30% inférieure à celle annoncée par les constructeurs.
Pourquoi cette petite merveille n’a pas plus tôt envahi nos routes ? Apparue il y a environ 4 ans en France, cette invention d’origine japonaise est déjà bien implantée dans son pays d’origine, aux Pays-Bas et en Allemagne. En France, ce vélo commence à séduire les habitants des villes qui y trouvent une parade aux embouteillages et un alternative aux transports en commun. Mais son prix reste élevé: de 1000 à 1700 euros. C’est