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Quand son mari était dans la maison, la femme ne mangeait presque rien ; elle se plaignait de douleurs d'estomac et disait qu'elle n'avait vraiment pas faim. Son mari s'étonnait :
– Ma femme ne mange rien ; et elle est fort grosse ; c'est bizarre.
Il raconta cela à un autre berger qui lui dit :
– Lundi, à la place de grimper dans la montagne, cache-toi dans la maison et tu verras bien si ta femme mange.
Arriva le lundi ; le berger prit sac et dit à sa femme :
– À samedi, ne te rends pas malade à ne rien manger.
Elle lui répondit :
– Non mon pauvre homme, je n'ai pas faim ! Rien que l'idée de manger me tord de vomissements. ! C'est ma nature d'être grosse !
Le berger partit en direction de la montagne, mais à mi-chemin il fit demi–tour et, sans se montrer à sa femme, se glissa chez lui et se cacha dans l'arrière-cuisine.
De ce poste d'observation, il la vit manger une poule au riz. Dans l'après-midi, elle goûta d'une omelette au saucisson. À la nuit , le berger sortit de sa cachette, entra dans la cuisine et dit à la gourmande :
– Bonjour !
– Mais, pourquoi es-tu revenu ? lui demanda-t-elle.
– Il y avait tellement de brouillard dans la montagne que j'ai eu peur de me perdre. De plus, il pleuvait et il tombait de gros grêlons.
Elle lui dit alors :
– Pose ton sac et assieds-toi, je vais te servir à dîner.
Elle mit sur la table un verre de lait et une bouillie de maïs. Le berger lui dit :
– Tu ne dînes pas, ma femme ?
– Comment ! Dans l'état où je suis ! Tu en as de la chance d'avoir faim. Mais dis moi : pouquoi tu n'est pas mouillé s'il pleuvait et grêlait tant que ça dans la montagne ?
– C'est parce que j'ai pu m'abriter sous une pierre aussi grande que le pain que tu as entamé. Et grâce à ce chapeau presque aussi grand que l'omelette que