Depuis le début des temps, certaines personnes se sont démarquées par leurs arts, par leurs paroles, par leurs inventions ou encore par autre chose. D’ailleurs, pour certain celles-ci sont devenues de grandes sources d’inspiration et d’exemples pour tous. Même plusieurs décennies après leur mort, leur nom ressort encore. C’est le cas pour Victor Hugo, un géant de la littérature française.
Premièrement, Victor Hugo naît le 26 février 1802 à Besancon en France. Son père, Léopold Hugo, vient d’une famille d’artisans de Nancy et sa mère, Sophie Trébuchet, vient de la bourgeoisie nantaise. De leur union naît Abel en 1798, Eugène en 1800 et lui, deux ans plus tard, Victor. Son enfance est quelque peu mouvementée. En effet, il vit à Paris, mais accompagne souvent son père lors de ses affectations militaires notamment en Espagne ou à Naples. Durant les années 1811 à 1813, il va au Collège des Nobles où il est pensionnaire à Madrid. Puis en 1813, il décide de s’installer à Paris avec sa mère qui s’est séparée de son mari. En septembre 1815, accompagné par son frère, ils entrent à la pension Cordier. Déjà là, il commence à écrire des œuvres littéraires. Encouragés par son frère Eugène ainsi que sa mère qui lit ses écrits dont ceux-ci sont relus et corrigés par un jeune maître d’études de la pension Cordier. En 1816, seulement âgé de 14 ans, Victor n’a pas peur d’écrire sur son cahier d’écolier : «Je veux être Chateaubriand ou rien !». Dès 1817, il remporte de nombreux concours avec ses poèmes durant trois ans ce qui l’incitant ainsi d’abandonner les mathématiques et s’orienter plutôt vers une carrière littéraire. Avec ses frères, en 1819, il crée Le Conservateur littéraire. À 19 ans, il étudie au lycée Louis-le-Grand. Déjà à cette époque, il est poète, romancier, journaliste et dramaturge. Sa vocation est précoce et ses ambitions sont immenses. La disparition de sa mère, en 1821, lui a permis d’épouser l’année suivante Adèle Foucher son amie d’enfance. Ensemble, ils