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INTRODUCTION
Une vie de boy qui s’inscrit de ce courant s’intéressera à la prise de conscience par rapport au vrai visage de la colonisation en Afrique et particulièrement au Cameroun. En effet, ce roman fait le procès de la colonisation en dévoilant les mœurs de la société des Blancs, leur hypocrisie, la violence, le racisme, l’exploitation des colonies, et la complicité de l’Église.

I. LES MOEURS DES BLANCS

A En conséquence, Toundi se rend compte que le monde des blancs n'est pas sans faille et de ce fait, sa vénération du colonisateur disparaît : « Cette découverte m'a beaucoup soulagé. Cela a tué quelque chose en moi… Je sens que le commandant ne me fait plus peur. Quand il m'a appelé pour que je lui donne ses sandales, sa voix m'apparu lointaine, il m'a semble que je l'entendais pour la première fois. (p .45) ». si lasociete nooir ne repond jamais a la violence par la violence ,elle n envisage pas reaction collective elle prend le pouvoir par l humour.En profitant de la difference de langue , les noirs se moquent ouvertement des blancs.Le rire semble permettre d evacuer la colere.brimades et cruautes se succedent chez le nouveau maitre coup de pied propos meprisant.les coups de fouet de moreau, le chien que janopoulous sur les negres pour s amuser les interrogatives feroces de gosier d oiseau devant de pareilles atrocites qui peut croire a tous les boniment qu on nous debite a l