En 2000, Vincent Callebaut, obtient le prix « grand Prix René Serrure » qui est attribué au meilleur projet de diplôme à l'Institut Victor Horta pour le projet parisien «Metamuseum des Arts et civilisations» au Quay Branly. Après l'obtention de la bourse « Leonardo da vinvi » par la Communauté Européenne il décide de vivre a Paris afin d’étendre son esprit critique et son inventivité durant un stage dans une agence selon lui fascinante.

En 2001, il remporte le Grand prix d'architecture Napoléon Godecharle , et également l'attribution du meilleur espoir de l'architecture belge avec son projet écologique «d'élasticité, une ville aquatique de 50 000 habitants entièrement autonome ». Le jury a apprécié à la fois son dynamisme, sa force d'expression et la cohérence de son concept et a reconnu que Vincent était douée d'une aptitude remarquable donnant attentes bien-fondé d'une grande réussite.

En 2005, il était le finaliste de le re-nouveaux plaisirs d'architecture attribution des 12 meilleures figures de l'architecture en Communauté française de Belgique.De plus, l'édition Entreprise Damdi de Séoul lui a consacré à l'âge de 28 ans sa première monographie d'architecture ou est détaillé l'histoire de ses projets récompensés. Il publie son deuxième monographie "Archibiotic" en chinois avec le soutien des Etats-Asie Art & Design en 2008.

Il est confirmé comme l'un des leaders le plus important dans l'architecture verte et vie à faible émission. De New York à Hong Kong traversée Bruxelles et Paris, Vincent Callebaut déterminé propose ses projets potentiels et écologique en dialoguant avec différentes population afin d'amélioré notre vision sur la société dans laquelle nous vivons. Depuis, dans le cadre de l'entreprise architecturalhis et nombreuse collaborations , il milite pour le développement durable de la nouvelle Ecopolis via «parasites» des stratégies pour une enquête architecture de biologie mélange de technologies de l'information et de la