Violence et revolte

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Violence et Révolte

Vis-à-vis les sociétés Maghrébines, c’est impossible de prendre une décision concrète sur la relation entre la violence et la révolte. Dans «La Femme en Morceaux,» par exemple, il y a à la fois de la violence et la révolte. Dans cette histoire, la violence est une réponse à la révolte d’Atyka contre le système oppressif de la culture et l’histoire d’Algérie. Elle se révolte en enseignant «Les Mille et Une Nuits», un texte d’héritage arabe, en français. Elle pousse ses étudiants à penser, et ils commencent à questionner la politique, le rôle de la religion, et l’inégalité des femmes. Certains groupes en Algérie ne l’aiment pas et un groupe de ‘soldats’ civiles tue Atyka à cause de «[ses] histoires obscènes». La vraie violence, le meurtre d’Atyka, se présente dans leur réponse à l’indépendance et le pouvoir qu’Atyka a montrés avec sa révolte individuelle. Cette violence est une conséquence d’une cause, parce que la conformité aux normes sociales était l’expectation. La violence contre ceux qui n’obéissaient pas à l’autorité était commune dans Algérie à ce moment. Il y avait une guerre culturelle et un système restrictif imposé sur tous. Pour les soldats, il y avait beaucoup d’alternatives qui auraient été moins dramatiques, mais l’exposition publique était très intentionnelle, créé pour corriger les mécréants. Le maître de l’école dans «Révolte au msid» utilise le même style de violence, faisant les punitions très publiques pour effrayer les étudiants. Quand ils font des erreurs académiques ou se conduisent mal, le maître maltraite les étudiants coupables, montrant aux autres les effets des mauvais choix. Un jour, un étudiant qui s’appelle Fa, s’est révolté. Il «ne pleura pas, ne supplia pas . . . il s’opposa au maître. Ce fut un unique spectacle de révolte» (Kilito, 35). Une révolte contre la violence, contre «l’antichambre de la mort» (Kilito, 30). C’est une mort figuratif, mais la violence est complètement vraie. Dans ce modèle d’une

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