Violence : a t on le droit de se venger
I . L'impact de la violence à la télévision sur les jeunes II . La loi et la moralité interdisent l'acte de vengeance
Conclusion
Introduction
Nous vivons aujourd’hui dans un monde troublé, en ébullition. Les conflits armés, les divorces, les séparations, les animosités sont devenues la seule réponse à toutes sortes de divergences de points de vue, cependant que la paix et la réconciliation comme issue des problèmes est de moins en moins considéré comme un choix. L’homme ou la femme qui pardonne est considéré(e) comme un être faible, alors que celui ou celle qui se venge, qui divorce, est valorisé(e). "C’est l’homme courageux" dit-on. Alors quelle définition de « la manière de vivre » est nécessaire, est acceptable pour une vie en commun dans un monde moderne ?
La vengeance est un sentiment qui pousse un homme à vouloir affliger à l'autre ce que celui-ci lui a affligé et, bien souvent, elle lui fait perdre son objectivité et sa raison. Alors l'homme peut-il prendre le droit de se venger ? Dans quels cas ? Y a-t-il un point où la vengeance peut-être « tolérable » ? Ou bien la morale et la vertu empêchent-elles la vengeance de manière catégorique ?
La colère est une émotion qui n’épargne aucun humain. Quand elle est non maîtrisée, elle est à l’origine de beaucoup nombreux des dégâts, elle peut commencer par des simples injures jusqu’aux meurtres. Elle est tellement commune à la race humaine, qu’elle n’épargne personne.
Bien souvent, en croyant bien agir, nous agissons en dehors de la volonté de Dieu, mais aussi celle des hommes simplement parce que nous posons nos actes pendant que notre cœur gronde encore de colère.
Selon le docteur Tiemeni, la colère est une émotion qui évolue, et qui peut aller d’une indignation à la rage. C’est l’âme qui explose parce que l’esprit de l’homme est blessé. A chaque fois, qu’il y a divergence de vues, ou que le prochain fait quelque chose qui