La violence chez les jeunes est une problématique à laquelle nous avons affaire dans notre vie de tous les jours, en tant que jeune et étudiant. Les principaux facteurs de cette violence sont divers, entre autre, les facteurs individuels comme l’hyperactivité, l’influence de la famille et des camarades, les facteurs sociaux et culturel. Nous n’allons pas aborder ici les différents facteurs influençant cette violence mais une des façons de prévenir celle-ci. L’une des manières de prévenir cette violence est l’encadrement de la famille, ainsi que la scolarisation.
La scolarisation doit offrir des chances égales et une intégration réussie à chacun. En effet, la mission de l'école est de promouvoir l'égalité entre les hommes et les femmes, faire disparaître les préjugés, changer les mentalités et les pratiques, etc.
Reprenons ces mots de Platon : "Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent pas compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne, alors c'est là (...) le début de la tyrannie"
Preuve que le phénomène n'est pas nouveau. Les jeunes ont besoin d'autorité et ils la demandent. Le symbole du mauvais prof est pour chaque étudiant celui qui ne se fait pas respecter par ses élèves, celui qui n'arrive pas à imposer le silence, celui qui n'ose pas imposer des règles de comportement strictes.
L’école aide donc les parents dans leur tâche de l’éducation et dans la transmission des valeurs, qui est une des tâches essentielle mais aussi l'une des plus difficiles.
De plus, l’école est le lieu stratégique qui permet la socialisation et la responsabilisation du jeune et qui détermine bien souvent son cercle d’amis. Et surtout elle permet le développement des connaissances.
De tout temps, les parents ont été les mieux placés pour