vision de la nature
Ce corpus est composé de quatres textes qui sont écrits par des auteurs differents; on y retouve un texte de Châteaubriand intitulé "Genie du Christiannisme"; un seconde texte d'André Malraux intitulé "La Voie Royale"; un troisième texte de Giono qui a pour titre "Un Roi Sans Divertissement" et pour finir un texte de Balzac " Le Médecin de campagne".
A l'aide de ces textes, nous allons voir comment la nature apparait à chacun des auteurs.
Dans le texte de Châteaubriand, l'auteur est émotionner par la nature.En effet cela est due à une accumulation d'adjectifs qui permet de mettre en relief les éléments qui caracterise la nature comme fraîche haleine. Il utilise aussi des mots en rapport avec la lumière comme "L'astre solitaire" qui signifie la Lune pour mettre en valeur les éléments de la nature en les gratifiant.
Dans le texte de Giono, l'auteur veut montrer qu'il y'a aussi des animaux attrayant que l'on prend gout à voir par opposition à d'autres qui le sont moins.
En lisant le paratexte, nous nous attendons à ce que l'auteur ait une vision igoble voir même hideuse de la nature.
On remarque aussi qu'il oppose les arbres au serpent et qu'il met en valeur les couleurs de l'automne
Dans le texte de Balzac, l'auteur a deux visions de la nature, celle-ci est d'une part repoussante et d'autre part adorable.
En effet , l'utilisation d'opposition dans ce texte est dur, voir rude pour opposer la beauté de la nature à la misère des paysages, il utilise aussi des figure de style (oxymore) pour opposer ses éléments de nature, comme "d'informes haies d'arbousier" ou "une misère laborieuse."
Dans le texte de Malraux, l'auteur utilise des mots dévalorisant qui fait que la nature est percue sous un angle hostile, défavorable.
La vision de la splendeur, de la magnifience de la nature est inexistante.
Sur certaines expressions du texte, le vocabulaire qui sert à valoriser la nature est rare et quasi inexistant.
Il utilise aussi des adjectifs