Visé commune des texte de jacourt et candide
( la religion, la conscience personnelle et l'instinct d'altruisme ) renforce le caractère universel et absolu de ce respect de l'autre. Voltaire dans le texte 2 dénonce également l'esclavage et le non respect du principe d'égalité entre les hommes.
Après un échange entre le « Nègre » et Candide qui vise à décrire les conditions d'existence, la chute du passage est celle-ci « c'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ». Les européens sont directement visés dans cette assertion ; ils sont complices de l'esclavagisme, et, par leur consommation, les garants de l'inégalité entre les hommes. La seconde valeur défendue par les deux textes est la liberté : dans le texte de Jaucourt, le champ lexical de la marchandise est très présent ( « achat » ; « négoce » ; « commerce de ce genre » ; « acheter » ; « objet de censure » ; « ni vendus, ni achetés, ni payés à aucun prix » ). Ce champ lexical est associé à des termes péjoratifs : « réduire » ; « viole » ; « crime » ; « atroce ». Par ailleurs, le principe fondamental de liberté s'appuie sur un contre-argument de l'auteur : si la morale peut cautionner un tel crime, alors il ne peut plus exister de justice puisque tout crime peut alors être légitimé. Il renvoie dans un deuxième temps la liberté à un droit inaliénable qui ne peut point être « un objet de commerce ». On note l'effet de boucle par apport au début du texte. La liberté est aussi abordée de façon plus implicite dans le second texte. Voltaire, par l'usage de la