Voltaire candide
L’auteur utilise l’ironie en parlant de « l’exe vie » de Candide, pour cela il utilise l’hyperbole que nous pouvons voir à la ligne 1 : « paradis terrestre », le mot « paradis » assure le fait que l’ironie est présente. A la ligne 3, l’hyperbole est aussi présente : « le plus beau château », « la plus belle baronette ».
Mais nous pouvons aussi voir l’ironie en ce qui concerne le héros en lui-même. Nous pouvons le constater lors de la rencontre avec les Bulgares. Le fait qu’ils l’invitent à dîner avec eux à la ligne 11 : « le prièrent à dîner », il le flatte aux lignes 14 et 15 : « personne de votre mérite ».
Les exclamations sont aussi présent dans cet extrait, par exemple à la ligne 17 : « Ah ! », et à la ligne 24 : « oh ! », ou encore à la ligne 28 : « Comment ! ».
La perfection du héros Candide va lui jouer des tours et va le projeter dans une situation fort désagréable.
Voltaire fait subir une tristesse à son héros, celle-ci est mis en avant par l’exagération : de l’environnement dans lequel doit survivre Candide à la ligne 5 : « à gros flocons » et par l’énumération à la ligne 7 : « n’ayant point d’argent, mourant de faim et de lassitude ».
La rencontre avec les Bulgares va augmenter la souffrance de Candide, l’énumération de la ligne 33 à 35 nous le prouve : « à droite, à gauche, hausser la baguette, remettre la baguette, coucher en joue, tirer, doubler le pas, et on lui donne trente coups de bâton ».
Voltaire dans cet extrait utilise l’ironie et par la suite fait