Holly TESSIER-FORCIER
La vie politique
385-013-MO (3-0-2)

TRAVAIL 1
État d’une situation actuelle

Travail présenté à
Mme Geneviève Charron

Département d’histoire, géographie et politique
Cégep Montmorency
Le 22 septembre 2014

TRAVAIL 1

Depuis quelque temps, la participation de la population aux élections a considérablement diminuée, plus particulièrement la participation des jeunes (18 à 24 ans). Plusieurs chercheurs ont tenté de trouver les raisons qui expliqueraient cette chute, tandis que d’autres cherchent présentement des solutions qui pourraient aider à remédier à cette situation.

1. Selon le texte « La politique électorale : où sont passés les jeunes ? », le problème grandissant des jeunes qui votent de moins en moins viendrait du fait que cette partie de la population, par son jeune âge, s’intéresse plus ou moins aux grands débats comme les impôts, l’accès gratuit à certains services, etc. Ces questions peuvent leur paraître inutiles et secondaires.

Deuxièmement, le niveau d’instruction est un très bon indice du vote de certains car il est prouvé que les études aident à développer les aptitudes et la logique nécessaires pour comprendre la politique et la nécessité d’un bon gouvernement dans une société. Donc, par exemple, un jeune ayant un diplôme d’étude secondaire seulement sera moins enclin à aller voter qu’un autre jeune qui a fait des études supérieures. Les études constituent donc un point important dans le choix des jeunes de voter ou non.

Troisièmement, les jeunes ne votent pas car un pourcentage important de ceux-ci trouve que la politique actuelle et traditionnelle ne répond pas bien à leurs besoins. Il est donc évident que, ne se sentant pas interpellés, les jeunes ne participent pas plus aux mouvements de protestations.

Finalement, une dernière raison du manque de participation des jeunes aux élections s’expliquerait par l’agenda trop rempli de ceux-ci. En effet, une