yassine colle
1. Un ensemble de pensée et d’usage persiste chez le commun des hommes, depuis une époque très éloignée, explique l’idée qu’à conçu l’Homme sur sa propre nature, sur son âme et sur le mystère de la mort.
2. La race indo-européenne a été toujours persuadée que la mort n’est pas la fin de la vie ou autrement la dissolution de l’être mais plutôt le début d’une nouvelle vie.
3. Acceptant l’idée qu’il existe une nouvelle vie après la mort, les plus vieilles croyances des Latins et des Grecs se posaient la question sur le lieu et la manière de passer cette seconde existence. Admettant, en fin du compte, que l’Homme ne se sépare pas de son âme qui s’enfermait avec lui dans le tombeau et continuait à vivre sous la terre.
4. La croyance d’une seconde existence se confirme par des témoins authentiques qui sont les rites de la sépulture et les cérémonies de funérailles. Ces derniers montrent que lorsqu’on mettait un corps au sépulcre, on croyait en même temps y mettre quelque chose de vivant.
5. Tellement on est convaincu que l’être allait continuer de vivre sous cette terre et qu’il conservait le sentiment du bien-être et de la souffrance, on lui souhaitait de vivre heureux sous cette terre.
6. Ajoutant à cela, dans l’antiquité on croyait fermement qu’un homme vivait sous la terre, on enterre avec lui les objets dont on supposait qu’il avait besoin ( vêtements, aliments, armes… ).
7. La sépulture est devenue ainsi une nécessité dans la croyance primitive. En effet, l’âme qui n’avait pas son tombeau est considérée misérable est peut être la source du malheur à tous les êtres vivants, elle peut en l’occurrence les faire tourmenter, leur envoyer des maladies…
8. Pour le repos et le bonheur du mort il ne suffit pas de se contenter de mettre en terre son corps. Il fallait d’autant plus respecter à la lettre les règles des rites traditionnelles de la cérémonie du funéraille.
Résumé Général :
Un ensemble de pensée et d’usage persiste