Yield management
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Les pauvres : Un nouveau marché
Le dossier de presse fournis regroupe cinq articles tirés de journaux distinct, tel que : l’Express, Les Echos et La Croix.
Ceux-ci traitent, d’un point de vue général, du marché potentiel que représentent les pays émergents.
En effet l’idée première est d’aider ces pays à tendre vers le développement et à les faire rentrer dans l’économie de marché. C’est Muhammad Yunus qui fait naître l’idée en créant le micro-crédit. Par la suite certaines multinationales comme Danone viendront prendre part au projet, en créant des produits accessibles à ces nouveaux clients. On parle alors pour l’instant d’entreprenariat social.
Peu à peu on voit se développer plusieurs produits de « première nécessité », Danone lance un yoghourt nutritionnel, Tata Motors lance un modèle simplifié de voiture, Essilor lance une paire de lunette de vue à 5 dollars, Grameen Bank lance le micro crédit, etc…
De plus il faut noter que ces multinationales offrent leurs produits à des prix accessibles tout en s’adaptant au marché. Ainsi ils utilisent la main d’œuvre locale et créent de l’emploi. Le but étant d’intégrer pleinement la population locale a l’économie de marché pour qu’ils deviennent des clients solvables.
Car effectivement le marché est très large et dévoile un fort potentiel, la crise économique à accentuer le phénomène. On trouve donc un nombre de clients potentiels très important sur un marché nouveau. Par exemple cette classe sociale représente, 220 milliards de dollars en Inde.
L’intérêt pour les entreprises nous l’aurons compris reste quand même de faire du profit. Pour cela il est nécessaire d’aider les clients non solvables à le devenir, en les intégrants pleinement à l’économie. Cette démarche part d’une intention sociale vers un but final lucratif. En effet sur du long terme il ne s’agit pas de pouvoir vendre plus chers mais en plus grande quantité, ainsi les