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3) La demande du secteur du textile est tout d’abord imprévisible, ce qui signifie qu’étudier le marché peut donner une indication sur les caractéristiques de la demande mais cela n’est pas suffisant. Elle est variable, elle suit les tendances de la mode. La question est alors : quels articles plairont demain ? La demande est également volatile, rester fidèle à une marque n’est pas l’objectif du consommateur. Les deux choses importantes aux yeux du client sont l’esthétique et le prix : peu importe qui le propose, tant que cela lui plaît et que le prix est raisonnable, alors il achète.
Le textile est un secteur hyper concurrentiel. On peut qualifier la concurrence de double : celle des produits basiques venant des pays de production à bas coûts et celle d’entreprises mondiales sur des produits de gamme supérieure. De plus, la concurrence se joue sur les coûts mais également sur la qualité, l’image, la réactivité et la logistique de l’entreprise. Ainsi, on met en évidence que de nos jours, délocaliser ne permet pas seul de se créer un avantage concurrentiel. D’autres facteurs sont à prendre en compte.
L’entreprise Zara a notamment voulu insisté sur ses produits inspiré sur un secteur haut gamme qui n’est pas forcement l’atout dans tous les pays et qui peut créer un ralentissement de leur croissance. De plus l’atout d’avoir une production verticale et concentré au même endroit comme la souhaiter Zara pour répondre rapidement aux besoins de la clientèle est une solution pour s’adapté aux secteurs d’activité, le prêt-à-porter. Mais en revanche elle contribue à avoir certain défaut telle que :
-Les crises économique créant une inflation qui génère ainsi des grève de salarier pour des augmentations de salaire
-le climat et les catastrophe naturel
-Les problèmes de transport (grève, panne, changement de transporteur…)
-Contrôle des enseignes plus difficiles (en vue de la distance siège UC)
Le problème de la