Zimbabwe
Foyer 508
Enquête : Zimbabwe
Robert Mugabe, le président de la République du Zimbabwe, est en fonction depuis le 31 décembre 1987, ce qui fait environ 27 ans. Lorsque celui-ci ne sera plus président à cause de divers raison, le pays est laissé avec plusieurs options pour leur plan post-Mugabe. Soit l’aide international, le contrôle des ressources naturelles et le développement économique.
Premièrement, Zimbabwe est un pays qui reçoit déjà beaucoup d’aide des autres pays.
Comme on le dit sur le site-web Horizons et Débats, «En 2009, la Direction du développement et de la coopération (DDC) […] a investi près de 6,5 millions CHF dans ces efforts» (http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=2111). De plus, «L’Union européenne (UE) a accordé, le 16 février [2015], au Zimbabwe un financement de 234 millions d'euros destiné aux secteurs de l'agriculture et de la santé» (Agence Ecofin). Ces contrats d’aide internationale ce sont fait lorsque Mugabe est encore sous contrôle, ce qui nous montre que le Zimbabwe reçoit assez d’aide internationale.
Deuxièmement, le Zimbabwe est reconnu pour ces ressources naturelles, tel que le diamant. «Les recettes minières du Zimbabwe des dix premiers mois de l'année 2006 ont connu une augmentation de 470 % par rapport à l'année précédente» (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_du_Zimbabwe). Ceci dit, lorsque Mugabe ne sera plus président, je pense que le Zimbabwe devrait nationaliser leurs ressources naturelles, en principe, le diamant. Prenons l’exemple de René Levesque durant les années 1960, celui-ci propose une seconde nationalisation de l'électricité qui fait en sorte qu’Hydro-Québec obtient tous les distributeurs privés d'électricité pour une somme de 604 millions de dollars. Si le Zimbabwe suit l’exemple d’Hydro-Québec et de René Levesque, le contrôle des ressources naturelles devrait être une des meilleures solutions.
Finalement, pour développer leur économie, le Zimbabwe devrait créer des