zola la bete humaine
I) Un roman naturaliste A. Cadre naturaliste B. Révolution industriel
II) Une violence développée A.Chez les hommes B. chez la machine
Conclusion
emile zola est un grand romancier Français du XIX siècle, considéré comme le chef de file du naturalisme, il a écrit : Thérèse Raquin (1867), L'Assommoir (1877) et parmi ceux-ci, La bête humaine publié en 1890. C'est un roman très célèbre de l'auteur, et est aussi le 17ème volume du cycle des « Rougon-Macquart ».
Les Rougon-Macquart regroupent un ensemble de vingt romans écrits par emile zola entre 1871 et 1893. Il porte comme sous-titre : « Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire ». L'ouvrage a pour but d'étudier l'influence du milieu sur l'homme et les tares héréditaires d'une famille sur cinq générations.
Dans La bête humaine, il est question d'un mécanicien, Jacques Lantier, un homme marqué dès son plus jeune âge par des pulsions sexuelles et meurtrières, et de sa locomotive qu'il aime plus qu'une femme.
Le passage que nous allons étudier raconte le combat entre Lantier et son chauffeur Pecqueux, à bord de la locomotive lancée à pleine vitesse
Il s'agira donc de voir comment à travers le rôle symbolique de la machine et un suspens conservé dans un roman naturaliste, zola dénonce t'il la violence des hommes.
Nous verrons tout d'abord, que ce passage est extrait d'un roman naturaliste, puis que la violence est tout particulièrement développée.
Dans plusieurs romans du cycle des Rougon-Macquart Zola utilise le modèle de la machine à vapeur pour figurer le dynamisme ambigu de l’histoire, de la société et de la vie[1] en tenant à distance les idées de providence divine ou de finalisme historique[2]. Dès les plans préparatoires du cycle il est soucieux d’éviter la tendance philosophique de Balzac[3]. Il trouve dans la science et dans le recours au modèle de la machine à vapeur le moyen d’expliquer le monde par des lois internes, par une autorégulation, faisant ainsi