PLAN ANALYTIQUE ET RESUME DE L’ARGENT CHAPITRE I 9-60 OUVERTURE : LA BOURSE – SCENES D’EXPOSITION Une « claire journée des premiers jours de mai » 1864, de 11 h à 14h45, environ 1. Chez Champeaux pp. 9-26 a) l’attente de Huret : 9-23 Présentation alternée de Saccard (portrait p 16 ; sa débâcle récente, la froideur ou l’hostilité dont il est l’objet, son désir de revanche), et de différents protagonistes du récit : boursiers et spéculateurs divers. « Depuis cette soirée, il était souvent monté très haut, un fleuve de millions avait coulé entre ses mains sans que jamais il eût possédé la fortune en esclave, ainsi qu’une chose à soi, dont on dispose, qu’on tient sous clef, vivante, matérielle. » 17 « Non plus la richesse menteuse de la façade, mais l’édifice solide de la fortune, la vraie royauté de l’or trônant sur des sacs pleins. » 17 « il risquerait le grand coup dont il ne parlait encore à personne, l’affaire énorme qu’il rêvait depuis des semaines et qui l’effrayait lui-même, tellement elle était vaste, faite, si elle réussissait ou si elle croulait, pour remuer le monde. » 21 b) Huret : 23-25 Refus du ministre Rougon de « patronner » son frère à Paris. c) Gundermannn : 25-26 « le banquier roi, le maître de la Bourse et du monde » 25 pp. 26-40 2. pérégrinations autour de la Bourse et rencontres d’autres personnages a) ouverture de la Bourse : 26-28 « Des passants tournaient la tête, dans le désir et la crainte de ce qui se faisait là, ce mystère des opérations financières où peu de cervelles françaises pénètrent, [cf.60] ces ruines, ces fortunes brusques, qu’on ne s’expliquait pas, parmi cette gesticulation et ces cris barbares. Et lui, au bord du ruisseau, assourdi par les voix lointaines, coudoyé par la bousculade des gens pressés, il rêvait une fois de plus la royauté de l’or, dans ce quartier de toutes les fièvres, où la Bourse, d’une heure à trois, bat comme un cœur énorme, au milieu. » 27 b) Bush et la Méchain : 28-31 Le juif tenant « un cabinet d’affaires