Zola, l'inondation
L'eau qui ne cesse de monter rend les personnages inquiets, angoissés, car ils n'avaient jamais eu avoir à faire avec quelque problème. Là, l'eau fait tomber les arbres, fait s'écrouler les maisons, etc.
Les personnages sont peu présents dans ces deux paragraphes, il y a seulement la présence de Pierre tenant sa pipe éteinte entre ses dents qui dit : l'eau monte, l'eau monte (l.13) et la présence de deux "nous" aux lignes 18 et 23.
L'eau monte de plus en plus, la Garonne déborde et se retrouve seulement à un mètre du toit. Dans le 1er paragraphe, l'eau est plutôt qualifiée par sa beauté, avec des termes mélioratifs comme "toute blanche, d'une clarté propre, d'une phosphorescense qui allumait de petites flammes à la crête de chaque flot". Alors que, dans le seconde paragraphe, "l'eau est menaçante", car elle monte de plus en plus, elle se retrouve qu'à un mètre du toit.
Les personnages sont quasi-inexsistants dans ces deux paragraphes : il y a juste le discours direct du frère Pierre qui indique et répète en rousiguant sa pipe que l'eau monte, alors que la nature est plus particulièrement l'eau occupe une grande place dans ces deux paragraphes, on la souligne d'abord méliorativement puis ensuite péjorativement.
L'eau qui ne cesse de monter rend les personnages inquiets, angoissés, car ils n'avaient jamais eu avoir à faire avec quelque problème. Là, l'eau fait tomber les arbres, fait s'écrouler les maisons,