Chèr journal, ça fait un bail ! J’aurais été heureuse de vous dire que ma vie suit toujours la voie de la lumiere, mais le flot n’était pas de mon coté... Le courant était plus fort et il a finit par m’aspirer vers les profondeurs de mes pensées ! Je songeais alors, à mon passé, et tout ces moments tendres de mon enfance. J’aurais préféré les retenir plus longtemps, mais on ne peut pas vaincre l’invincible, il faut savoir s’arrêter ! J’ai fini par croire que c’est ici que mes souvenirs les plus savoureux sont venus s’échouer ! Certes, il était temps pour moi de remonter a la surface et d’essayer de sortir de la peau du naufragé, pour rejoindre le coté, mais, une fois pris par le courant, il est difficile de changer. Cher journal, j’aurais été heureuse de dire que mes erreurs ont été surmontées, que ma peur est du passé, ou encore que je me sois remis du poison que je me suis fais avaler à moi-même, mais ça aurait été un mensonge. Il ya toujours un peu de cette peur m’empêchant de regarder vers l’avant. Et malgré cela, je dois dire que j’ai bien conscience des promesses faite et dont j’ai l’intension de tenir, c’est pour ça, et meme si l’horizon ne m’a jamais paru plus loin auparavant, je continu de croire qu’un jour, un beau jour je verrais la lumiere a nouveaux alors je prie pour un avenir brillant, en esperant qu’entre temps, j’aurai la force de vaincre l’invincible ! Cher journal, j’aurais préferé vous dire que tout ses moments difficiles en valait le coup, mais vous voyez aujourd’hui, j’ai bien peur de ne plus savoir. Il est peut être temps de laisser tout tombé et de partir pour une nouvelle aventure, peut être aurai-je le privilège de conquérir ce monde, tellement inconnu. Ce dont je m’accroche péniblement aujourd’hui n’est autre qu’un rayon de soleil, qui a réussit à se faire un chemin dans cet obscurité, demain, j’espère du fond du cœur en voir d’autres faufilant à travers ma fenêtre. Cher journal, je suis heureuse de vous dire que je garde espoir et que