Après avoir eu la chance de lire le livre « C’est pas moi je le jure » par Bruno Hébert ainsi que la version cinématographique du livre réalisée par Philippe Falardeau, nous avons eu la tâche de rédiger un court texte, dans le cadre de notre cours de français, pour mettre en évidence quelques différences et ressemblances que nous avons aperçus entre ces deux versions. L’histoire se déroule au Québec à l’époque de la révolution tranquille et se développe autour de la vie d’un petit garçon nommé Léon, qui n’est pas « tout à fait normal » comme il se décrit lui-même. L’histoire dans le livre commence par la noyade de Léon lorsqu’il n’a que 5 ans, tandis que dans le film il se pend accidentellement et l’auteur nous laisse remarquer qu’il est plus ainé que ce que le roman décrit. Ceci dit, on peut déjà conclure du début de chacune des œuvres que Léon à tendance de se mettre dans des situations pénibles. Il est décrit comme un enfant malin et un grand preneur de risques, ce qui est presque compréhensible si on prend en considération tous les évènements bouleversants qui se déroulent dans son milieu familial. Il semble ne pas du tout se soucier des conséquences de ses actions et ses bêtises n’arrêtent d’empirer à travers l’histoire du livre ainsi que du film. Léon partage ses aventures dans les deux œuvres avec son amie qui se nomme Clarence dans le livre et Léa dans le film. À la fin du livre on découvre que Clarence était en fait juste un fruit de l’imagination vive de Léon, tandis que Léa était un véritable personnage du film et elle existait réellement (fréquentait la même école que Léon et vue par tout le monde). Après une comparaison plus en profondeur du film avec le livre, je suis arrivé à la conclusion que le film a un côté beaucoup plus humain que le livre, qui est surement une manière abordée par le réalisateur pour le rendre plus attirant aux spectateurs de tous les genres et âges. Il est clair que dans le film les rôles de la mère et du frère sont