C’est ça qu’on m’appelle
Par
Éric Comfort
Présenté à
Madame L. Campagna
Dans le cadre du cours
FRA4U1-03
École Secondaire Père-René-de-Galinée
Jeudi 28 février 2013
C’est ça qu’on m’appelle!
Tous les jours, mon amie Ève et moi marchions dans le parc après de longues journées d’école dans la ville d’Ottawa. Les parents à Ève son divorcé depuis plusieurs années. Parfois, nous avons dû rester avec son père à Montréal, mais pour la majorité du temps, nous l’avons passé à Ottawa avec sa mère. Chez sa mère, on habitait dans une région haute-classe où tout le monde se connaissait. Alors, il n’y avait aucune chance que nous ne nous sentions pas en sécurité. Cependant, ce jour-là, j’avais vu un homme d’environ 35 ans de grande stature qui semblait avoir une allure de « bad boy » et il m’envoyait des regards embêtant qui me donna des frissons dans le dos. Je ne pouvais pas dire que je ne me suis pas senti un PEUUU vulnérable… mais pas assez pour en avoir averti Ève. Les jours passèrent, ils nous regardaient souvent et je suis devenu de plus en plus inquiet. Mais la journée où j’allais essayer de lui passer le message… UNE CATASTROPHE!!! JE N’AI JAMAIS EU AUSSI PEUR… IL NOUS SUIVAIT… OUI LUI L’À… LE ….LEEEE GARS! J’avais commencé à tirer la main d’Ève, mais elle me crut idiot puisqu’elle ne voyait toujours pas l’homme. Je me suis échappé. En courant, je me suis retourné et j’ai vu que l’homme avait pris Ève. J’étais en panique TOTALE. Quelle sorte d’ami suis-je? Que lui fera-t-il??? OMG!!! Mais j’avais besoin de suivre, elle ÉTAIT ma meilleure amie et c’était vraiment de ma faute… même que je n’ai pas voulu être vue et moi aussi être capturé. Quoi faire? Je m’étais rapproché sans avoir fait de son et j’avais pu observer ce que l’homme fessait à Ève. Il commença à flatter sa tête, jouait avec ces cheveux et ensuite l’attacha à un arbre. Quelques instants plus tard, il la déshabilla et il enleva ces pantalons. Elle pleurait, elle criait, elle essayait de