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Lieu :
La situation que je vais vous décrire a eu lieu dans l’unité de soins intensifs légère de l’hôpital Haut Leveque de Pessac.
Situation ou activité vue ou realisé
La situation que j’ai vécu et qui m’a conduit a ce questionnement est la suivante : le déni d’une maladie chronique par un patient. observation, etonnements
Une matinée, un patient a particulièrement attiré ma curiosité. En effet, comme pour chaque prise en charge, je regarde le dossier de soins et donc par conséquent les soins qui en découlent. Suite à cela, je constate que ce dernier souffre de diabète, j’ai donc effectué un prélèvement capillaire avant l’heure du repas. Lors du soin, celui-ci m’a fait part sur un ton agacé que depuis qu’il était a l’hôpital tout le monde le traité comme un diabétique alors qu’il ne l’avait jamais été. A son domicile, le patient n’avait pas de traitement, seulement une surveillance accrue aurait été nécessaire. Ce patient était dans le déni total de sa pathologie, il affirmé que son diabète n’existait pas.
Suite à cette situation, je me suis demandé ce qu’était réellement le déni d’une pathologie chronique ? Comment en tant que soignant je me devais de réagir pour effectuer mes soins dans les meilleures conditions ? Et comment aider le patient à accepter sa pathologie afin d’adapter son comportement pour éviter des complications? difficultes et point a approfondir
Le déni est un mécanisme de défense. Le déni de la réalité de la maladie chronique est provisoire, c’est une étape dans ce que l’on peut appeler le processus de deuil de son futur imaginé.
Un patient se trouvant dans le déni de sa pathologie se comporte comme s’il n’avait pas intégré l’information qu’on lui a donnée sur son état de santé. Il nie une réalité trop difficile à vivre. Il se comporte donc comme une personne n’ayant aucune pathologie, il en découle donc qu’il ne suit pas son traitement, prend des risques et a beaucoup de mal à accepter qu’on tente de le